« Le temps ne s’arrête jamais, ni peine ni tristesse, la chose est trop sérieuse. Mourir nourrir au service d’une onde qui va tant qu’elle peut s’accompagnant de renouveau, de couleurs et de chants. Une éternité simple. Une grâce du nécessaire. »
Comme c’est beau et que c’est juste! Cette chose sérieuse à laquelle se donnent de toute leur âme et tout leur corps les créatures vivantes, ce flot puissant… dans une évidence et une simplicité exemplaires.
« Le temps ne s’arrête jamais, ni peine ni tristesse, la chose est trop sérieuse. Mourir nourrir au service d’une onde qui va tant qu’elle peut s’accompagnant de renouveau, de couleurs et de chants. Une éternité simple. Une grâce du nécessaire. »
Comme c’est beau et que c’est juste! Cette chose sérieuse à laquelle se donnent de toute leur âme et tout leur corps les créatures vivantes, ce flot puissant… dans une évidence et une simplicité exemplaires.
Chère Henriette, tant merci de votre présence.
Ce pic épeiche, quelle splendeur!
Le battement d’coeur
d’une âme-fée.
Qui s’abrite.
Sans jamais vraiment
se cacher.
Le fort le fragile
à la fois.
Un don.
Celui d’elle.
Vers le monde.