Si je vous dis BOUQUINAGE, c’est de l’amour cogneur chez les lièvres dont il est question. J’ai assisté à ces scènes dont je n’ai d’abord rien compris en avril 2021, il y a deux ans donc. A l’oeil nu je ne distinguais pas grand chose, j’ai d’abord cru à un groupe de chevreuils. Mon téléobjectif a fait la différence, et c’est très excitée que j’ai photographié cette rencontre entre mâles (bouquins) et femelles (hases). Les lièvres se réunissent ainsi en période de rut. C’est alors, Que les meilleurs gagnent ! On assiste à des joutes entre mâles, et des combat (de boxe) entre mâles et femelles. Courses, sauts, défis, ces bouquinages font sortir les lièvres discrets et solitaires de leurs terriers. Ils peuvent avoir lieu de janvier à août. Et en six ans, je n’ai été qu’une fois témoin de ces scènes.

Un des lièvres a subitement quitté le groupe, je l’ai suivi des yeux à travers les cultures, il se dirigeait vers l’autre bois. Soudain il est arrivé devant une corneille qui se trouvait là comme un point à atteindre. Etait-ce un mâle évincé ? Devait-il montrer ses capacités à la course ? Assistais-je sans l’avoir compris à une sorte de partie de base-ball ?




Ah, ces moments suspendus
qui se sèment
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… et se partagent.
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bravo, pas facile à capter ces moments .
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Merci !
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