Reconnaître que vivre avec les oiseaux, c’est admettre qu’on ne sera jamais qu’une vague pièce du puzzle, et que quoiqu’il en soit, quand on marche dans l’herbe humide on aura toujours les pieds mouillés dans les chaussures, et c’est un peu désagréable. Mais tant que ça fait rire le faisan, on n’y veut rien changer.
Hier c’était cadeau, jour de soleil. Aujourd’hui, on remet pull et doudoune.

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