S’il ne fallait en garder qu’une ce serait ce pic épeiche se nourrissant de la bonne graisse de tournesol aux arachides. Toujours la femelle. Une belle leçon d’équilibre où la queue joue un rôle essentiel. Elle est restée longtemps se tournant à droite, se tournant à gauche. Elle n’est repartie que repue.

Les chardonnerets ont largement squatté les trois maisons à graines. Rouge en a été pour ses frais, il a bien essayé de s’introduire dans le garde-manger mais Chardonneret n’a rien voulu savoir. Heureusement les oiseaux se rabattaient sur d’autres lieux de nourriture, la grande mangeoire et les blocs de graisse. Mais cela ne se fait pas de garder tout pour soi. Sittelle n’a pas fait de chichi, elle a piqué le croupion d’un chardonneret qui n’a pas insisté et a laissé la place libre. Il suffisait d’y penser.
Les mésanges se sont encore laissé tenter par la piste d’arachides. Charbonnière remporte le premier prix pour son élégance parfaite.

Signalons le retour de Merlette. Les choses rentrent petit à petit dans l’ordre.
Ne manque que les jolies rousses, la mare est désespérément vide alors que l’année dernière elle s’animait déjà de la présence de quelques anoures répétant pour le grand accouplement.
Remarque : je ne peux m’empêcher de comparer le tempérament de certaines mésanges bleues à celui des guêpes, elles agissent parfois en véritables chipies qui embêtent volontiers leurs congénères.
Leçon d’équilibre, et d’une sorte de grâce…
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Il va falloir embaucher un garde-chiourme pour discipliner tout ce petit monde ! 🐤
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De quoi devenir chèvre.
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oh dame pic épeiche est si belle!!!! et oui, sa queue est indispensable à l’équilibre et que c’est beau!!!!
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Une si jolie présence.
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j’avais de la sympathie pour les mésanges bleues mais j’ignorais leur côté « chipie » ! Elles sont si jolies pourtant…
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Elles sont adorables.
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