Teddy, son et mouvement.

Depuis le temps que je vous parle de Teddy, un an, oui oui, un an que ce petit garnement d’oiseau se montra fort intéressé par les biscuits que je grignotais… une prise de contact qui me laisse de jolis souvenirs et qui fut suivie de bien d’autres beaux moments souvent très émouvants tout au long de cette année. Ce qui manquait c’était le son de sa voix. La voici donc. Oh, en ce moment elle n’est pas bien puissante, elle s’accorde avec la saison. Nous sommes loin des mois foisonnant d’hormones et de vigueur. Merle n’est-il pas passé des envolées mozartiennes à des poc poc poc poc poc invariants et (presque) discrets ?

Court piaillement du Teddy donc. Mais le voici aussi en mouvement, sautillant et gracieux. (voyez comme la mésange ordonne à Teddy de lui laisser la place au point d’eau).

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Ci-dessous, une deuxième photo de famille. Notons l’absence de Nanny et de sa petite ce dernier week-end, ce qui ne laisse rien envisager, s’il y a une chose que les oiseaux m’ont apprise c’est qu’ils ne sont tenus que par leur liberté et leur instinct. Nanny reviendra, j’en suis à peu près certaine. La petite c’est moins sûr, elle peut se trouver un autre lieu loin de sa mère.

Par contre une des mésanges est bien présente, les enfants Merle sont toujours là. Et notons le passage de la sittelle qui commence à engranger des graines pour l’hiver. Oiseau instable, pas fichu de garder la pose pour la photo.