Introspection – jour 250 618 1 WordPress:J’aime chargement… Articles similaires 12 commentaires sur “Introspection – jour 250 618 1” Ajouter un commentaire Et elles ont bien raison ! 🙂 J’aimeJ’aime Réponse Oui, mais pas que. Si je les laissais tout faire, où irions-nous ? J’aimeAimé par 1 personne Réponse Chez les fous 😉 J’aimeJ’aime Réponse Boh… 🙂 J’aimeAimé par 1 personne Réponse Beau texte qui se termine sur une note de lumière. C’est vrai qu’il y a parfois certaines de nos facettes que nous devons mettre de côté pour pouvoir avancer. J’aimeAimé par 1 personne Réponse Je suis bien contente que vous y voyez une note de lumière, Marie-Anne. J’aimeJ’aime Réponse Vous parlez de langue qui chasse l’obscurité et qu’il ne faut pas renier, je l’ai compris ainsi effectivement … J’aimeAimé par 1 personne Réponse Fascinant dessin. J’aime cette idée d’être « labyrinthes ». J’aimeJ’aime Réponse N’en êtes-vous pas vous-mêmes ? Je crois assurément, oui. Et j’aime vous explorer. J’aimeAimé par 1 personne Réponse Toutes ces issues à la clé. J’aimeAimé par 1 personne Réponse Belle dame aux labyrinthes, comme j’aime vous savoir là. En ce deux cent cinquante millième jour, et passé même. Quoi que l’on renie ou pas. J’aimeJ’aime Réponse Tous ces jours tout de même. Dit comme ça, c’est un peu vertigineux. J’aimeAimé par 1 personne Réponse Votre commentaire Annuler la réponse. Entrez votre commentaire... Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter: E-mail (obligatoire) (adresse strictement confidentielle) Nom (obligatoire) Site web Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion / Changer ) Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. ( Déconnexion / Changer ) Annuler Connexion à %s Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. Δ
Beau texte qui se termine sur une note de lumière. C’est vrai qu’il y a parfois certaines de nos facettes que nous devons mettre de côté pour pouvoir avancer. J’aimeAimé par 1 personne Réponse
Vous parlez de langue qui chasse l’obscurité et qu’il ne faut pas renier, je l’ai compris ainsi effectivement … J’aimeAimé par 1 personne Réponse
N’en êtes-vous pas vous-mêmes ? Je crois assurément, oui. Et j’aime vous explorer. J’aimeAimé par 1 personne Réponse
Belle dame aux labyrinthes, comme j’aime vous savoir là. En ce deux cent cinquante millième jour, et passé même. Quoi que l’on renie ou pas. J’aimeJ’aime Réponse
Tous ces jours tout de même. Dit comme ça, c’est un peu vertigineux. J’aimeAimé par 1 personne Réponse
Et elles ont bien raison ! 🙂
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Oui, mais pas que. Si je les laissais tout faire, où irions-nous ?
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Chez les fous 😉
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Boh… 🙂
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Beau texte qui se termine sur une note de lumière. C’est vrai qu’il y a parfois certaines de nos facettes que nous devons mettre de côté pour pouvoir avancer.
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Je suis bien contente que vous y voyez une note de lumière, Marie-Anne.
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Vous parlez de langue qui chasse l’obscurité et qu’il ne faut pas renier, je l’ai compris ainsi effectivement …
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Fascinant dessin.
J’aime cette idée d’être « labyrinthes ».
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N’en êtes-vous pas vous-mêmes ? Je crois assurément, oui. Et j’aime vous explorer.
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Toutes ces issues à la clé.
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Belle dame aux labyrinthes, comme j’aime vous savoir là.
En ce deux cent cinquante millième jour, et passé même.
Quoi que l’on renie ou pas.
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Tous ces jours tout de même. Dit comme ça, c’est un peu vertigineux.
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