Avec ce premier numéro, je vous accueille dans la vie d’un bois enchanteur. Ce journal n’a pas la prétention d’être objectif ni rigoureusement campé dans la réalité. Il relate des faits simplement vécus et ressentis…
Alors si l’envie de feuilleter cette page vous tente, il suffit de l’agrandir…
C’est très rafraîchissant de lire cette chronique – surtout quand on a soi-même un petit coin de jardin 🙂
J’aime bien imaginer vos scènes d’opéra avec le merle moqueur 🙂
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Ah vous le dites aussi, je savais bien que le merle se moquait de moi.
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Sympa ton histoire… 🙂
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🙂
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encore, encore, j’en veux des pages et des pages!!! alors n’hésite pas, Evy -)
concernant Mu, j’ai la même à la maison qui batifole dans le jardin quand je lis au soleil car je bouge peu…….et notre chat la laisse tranquille, bizarrement…..
la seule chose à surveiller c’est qu’elle ne devienne pas mère (ou père?) de famille car sinon, bonjour l’invasion! mais là encore ‘mystère’ car la nôtre semble être solitaire et vit à la cave avec une chauve-souris……..heu ceci explique peut-être cela 😉
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Pour le moment, la petite Mu a l’air de vivre seule ou avec le gros bourdon. Est-ce que la chauve-souris vit en amour avec la musaraigne ? Je croyais que les chauves-souris ne tombaient amoureuses que des parapluies. Et comme je suis d’humeur chanteuse aujourd’hui : https://www.youtube.com/watch?v=EEepFX0gZTQ
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ce qui est dingue, c’est que chaque année, la chauve-souris nous fait des petits dans la grosse poutre au dessus de la porte de grange….et redescend ‘seule’ à la cave pour l’hiver….à moins que ce ne soit pas ‘la’ mais ‘le’ monsieur qui se retrouve seul à la cave…….
merci pour cette jolie chanson 🙂
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Ta chauve-souris semble avoir une double vie.
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pliée de rire je suiiiiiiiiiiis!!!!
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bien sûr, mozart, la grenouille et la musaraigne… entre l’abeille et le merle, je les ai vus danser, s’en donner à coeur joie pour y conter la vie… on ne se doute pas combien le bois est raconteur… les âmes clignent, les âmes saignent, jusqu’au bout de leurs branches… et pendant ce temps, les magiciennes font ce qu’elles font… leur vie est une histoire… qu’on aimera lire encore… les magiciennes le savent : le temps passe et l’on sème comme l’on s’aime, l’on s’aime comme l’on sème…
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Le bois est raconteur et j’apprends à écouter. Merci de poser tes mots ici, Caroline.
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j’adore ! format court, chaque anecdote est un plaisir à lire. Superbes photos de l’abeille, bravo pour le sauvetage !
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Merci beaucoup Cléa, tes compliments me touchent.
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Comme vous savez les voir les p’tites bestioles qui font leur numéro (de charme)!
BdC… dans le titre, Bocal de Cornichons??
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Bocal de Cornichons, c’est pas mal, en effet… mais non, ça signifie Bois de Cise, puisque j’ai d’autres « traversances » plus anciennes qui se sont écrites hors du bois, une façon de faire la différence. J’aurais pu ne pas le mettre ici, mais on ne sait jamais si un jour je publie d’autres genre de « traversances ».
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